Les prieurés grandmontais.
Ordre monastique fondé vers la fin du XI° siècle par saint Etienne de Muret (1048-1124), il était parmi les plus sévères et les plus populaires de l’Occident médiéval. Né du renouveau de la vie érémitique, qui attirait alors vers des sites retirés des hommes épris de solitude et de vie évangélique, tels saint Robert de Molesmes à Cîteaux, saint Bruno à la Grande Chartreuse, ou saint Romuald à Calmadoli, l’ordre de Grandmont à cause sans doute de l’austérité de sa Règle, mais aussi de l’insuffisance de ses structures, ne devait pas connaître le rayonnement qui fut celui des Cisterciens, des Chartreux ou des Calmadules.
Son expansion, quoique rapide, se fit surtout dans la France du Centre et du Sud Ouest où quelques soixante établissements furent fondés au cours du XII° siècle. Il devait y en avoir plus de cent soixante, dont trois en Angleterre et deux en Espagne, à la fin du XIII° siècle. Son idéal de pauvreté, la vie rude de ses moines, très proches de celle des paysans, et son action charitable lui valurent aussitôt la protection des souverains, Plantagenêts, Capétiens et Aragonnais, mais aussi l’affection du peuple des campagnes qui appelait familièrement les frères «les bonshommes».
L’ordre de Grandmont.
Celle-ci définissait une forme de vie monastique originale, presque paradoxale : une sorte d’érémitisme communautaire, inconnu jusqu’alors en Occident, et vécu par quelques religieux seulement, dans un cadre restreint : la celle.
Elle imposait une solitude rigoureuse et le refus de toute fonction paroissiale ; les celles, établies dans des lieux déserts, souvent au milieu des forêts, n’abritaient que quelques moines, de six à douze en général.
Au vœu de pauvreté individuelle des frères s’ajoutait une exigence de pauvreté collective : chaque maison ne devait pas posséder plus de terres et de revenus que le strict nécessaire pour vivre. En conséquence, ni dîme, ni troupeaux importants, ni domaines éloignés ; elle ne devait même pas posséder des archives, « afin de ne pouvoir rien réclamer de ce qui est contesté, et n’avoir jamais de procès ».
Avec la stabilité et l’obéissance au correcteur (prieur), les frères étaient astreints au silence, aux jeûnes fréquents et à l’abstinence perpétuelle. A l’office quotidien dans la chapelle, s’ajoutait un rude travail manuel dans les bois, aux champs ou aux ateliers. Seuls les clercs (moines-prêtres), d’ailleurs peu nombreux au début, étaient exclusivement voués à la prière et à la vie contemplative.
Cette vie ascétique était tempérée par une conception assez souple de la clôture et par le devoir de charité et d’hospitalité ; pauvres et pèlerins étaient accueillis sous le porticum, galerie de bois aménagée à cet effet au nord de l’église, et un logement, avec cheminée, était prévu pour héberger les hôtes dans l’aile ouest du monastère. L’église, ouverte directement sur l’extérieur par un portail plus orné, était accessible aux laïcs qui pouvaient partager la prière des religieux. les bâtiments monastiques habituels(chapitre, salle de travail, dortoir, réfectoire, cellier et dépendances), disposés autour d’un petit cloître, devaient refléter par leur extrême simplicité et leur dépouillement absolu, la spiritualité exigeante de l’ordre.
Celui-ci, suite à des crises internes d’ordre disciplinaire et financier, dût à deux reprises être réformé pour survivre. D’abord en 1317 avec la création par le pape Jean XXII de véritables prieurés conventuels, ensuite en 1643, où la reforme dite de « l’étroite observance », accorda un sursis à l’ordre sans toutefois parvenir à le sauver. Lorsqu’il fut supprimé en 1772, il comptait à peine cent religieux.
Le prieuré Saint-Michel de Grandmont.
Il semblerait qu’une chapelle dédiée à saint Michel se trouvait déjà sur ce site avant l’arrivée des religieux, d’où le nom donnée au prieuré. La présence d’une pierre de dédicace d’une église en l’honneur de saint Michel, en caractères romans du début du XII° siècle semble bien le confirmer. D’autre part, un document du XV° siècle placerait la donation de Grandmont entre 1162 et 1189, en l’ordonnant sous un double patronage : « nôtre prieuré conventuel de la Bien-heureuse Vierge Marie, de Saint Michel de Lodève ».
Mais le grand bienfaiteur de Grandmont fut l’évêque de Lodève, Guilhem de Cazouls (1241-1259), qui donna aux religieux, outre les revenus d’une église (Saint-Vincent de Mazons), une vaste forêt autour du prieuré, afin que celui-ci puisse entretenir douze religieux. Aussi G. de Cazouls était-il parfois considéré comme le principal fondateur du monastère, dans l’église duquel il fut inhumé en 1259, au pied de l’autel.
Après avoir traversé de nombreuse crises, financières, disciplinaires, usurpation de propriété, troubles liés aux guerres de tout ordres, l’ordre de Grandmont sera supprimé en 1772, et le, monastère et son domaine seront attribués au chapitre cathédral de Lodève. Déclaré bien National par la Révolution il est vendu aux enchères en 1791 à un négociant de Lodève, puis revendu en 1849 à Etienne Vitalis. Celui-ci transforma les bâtiments monastiques en vastes chais, et aménagea à l’étage les ailes sud et est en appartements aux percements modernes.
Acheté en 1957 par la famille Bec qui a entrepris avec l’aide du Service des Monuments Historiques sa réhabilitation (restauration de l’église, réfection des toitures, puis restauration du cloître), il sert désormais de lieu de rencontres culturelles et d’expositions artistiques ou de cadre de concerts, servis par l’acoustique remarquable de l’église.
Cet ensemble constitue aujourd’hui une pièce remarquable du patrimoine architectural national, car il est le seul exemple d’un monastère grandmontais conservé dans son intégralité, et son cloître est le seul cloître de l’ordre encore intact.
L’église.
La nef rectangulaire, longue et étroite, qui était réservée aux frères et aux serviteurs du monastère, est d’une nudité absolue : ni piliers, ni arcs, ni fenêtres latérales ne viennent distraire le regard qui est ainsi irrésistiblement conduit vers la lumière du sanctuaire. Elle est couverte d’une voûte appareillée, en berceau continu légèrement brisé et dépourvue de doubleaux : la vouta plana, caractéristique des églises grandmontaines. Sa naissance est simplement soulignée par un cordon mouluré en quart-de-rond.
La nef s’ouvre à l’est sur une abside semi-circulaire, profonde, claire et sensiblement plus large qu’elle (7,80 m. contre 6,70 m.) voûtée en cul-de-four, bien appareillée. Le décrochement, très net en plan comme élévation, qui existe entre nef et sanctuaire, et que l’on trouve dans toutes les églises de l’ordre, était-il destiné à valoriser, en la soulignant par effet de contraste, la luminosité de l’abside ? Celle-ci réservée aux officiants, est abondamment éclairée par trois hautes fenêtres à fort ébrasement, rigoureusement égales : le triplet typique des églises grandmontaises. Simplement éclairée par l’unique baie haute de la façade occidentale, la nef reste dans une demi-pénombre.
Cette distribution subtile de l’éclairage dans un volume intérieur absolument nu, crée un incontestable climat spirituel, « très propice au recueillement et à l’émerveillement auxquels des contemplatifs, étaient particulièrement sensibles » (A. Ausibal)
Par souci de pauvreté, les églises grandmontaises ne possédaient pas de sacristie. Quatre niches creusées dans le mur de l’abside en font office : deux placards au nord pour les livres et les vases sacrés, la piscine aux ablutions et une petite niche pour le luminaire au sud.
Trois portes donnent accès à l’édifice : au nord, le portail principal ouvert sous le porticum, destiné aux rares fidèles accueillis au monastère ; au sud, la porte des moines donnant sur le cloître ; à l’ouest enfin, une grande porte charretière, percée au XIX° siècle lorsque la chapelle fut transformée en chais.
Dans le mur nord, quatre corbeaux de pierre encore en place soutenaient les poutres du porticum, cette galerie de bois qui longeait l’église et qui servait à l’accueil des fidèles ainsi que de parloir aux frères.
C’est sans doute pour remplacer cette galerie qu’à été construite au XIV° siècle la chapelle gothique dédiée à saint Michel, appuyée à l’église mais sans communication avec elle. Fondée et dotée en 1335 par Bérenger de Vailhauquès, abbé de Nant (Aveyron), c’est un petit édifice trapu, flanqué de contreforts massifs et voûté de croisées d’ogives. C’est au-dessus de sa porte qu’a été encastrée l’inscription romane de dédicace de la primitive église : + CONSECRATA EST HAEC AULA XIKL. JUNII IN HONORE SCI MICHAELIS ARCANGELI (ce sanctuaire a été consacré le XI des calendes de juin en l’honneur de saint Michel archange).
Située hors de la clôture, cette chapelle de dévotion, était affectée aux laïcs et surtout aux femmes qui n’étaient pas admises dans l’église des religieux.
Le seul luxe de l’église de Grandmont, et la seule entorse à l’esprit d’humilité voulu par la Règle, et sans conteste l’élégant petit clocher octogonal, coiffé d’un dôme de pierre, cantonné de quatre piliers cylindriques surmontés de petits pinacles coniques, qui s’élève sur le versant sud de la toiture. De construction plus tardive (XIII° ou début XIV° siècle), et d’influence limousine ou poitevine, il met une note d’originalité dans un ensemble d’une sévérité monastique.
Le cloître.
Ses arc géminés en plein cintre reposent alternativement sur des piliers rectangulaires et sur de courtes colonnettes jumelées surmontées de chapiteaux à large tailloir commun.
Les chapiteaux, d’une facture très simple, voire rustique, appartiennent à deux types différents : corbeilles cubiques ou prismatiques à l’est et au sud ; bossages et touffes de feuillages placées dans les angles au nord et à l’ouest. Sur quelques-uns d’entre eux apparaît un décor gravé de palmettes et de fleurons, tandis qu’un seul est timbré, côté préau, d’un écusson saillant aux armoiries très effacées, peut être celles des Castelnau, seigneurs de Clermont-Lodève.
Ces dernières représentent 12 lignes, ancienne unité de mesure utilisée au moyen age qui représente 1 pouce. De même qu’une coudée, moyen de mesure utilisé par les bâtisseurs de cathédrales valait 233 lignes. Ces mesures ont servi de références pour la construction de l’édifice. Voir rappel historique ci après.
Une source alimentait la fontaine du lavabo placé dans l’angle sud-ouest du préau, prés de la porte du réfectoire.
La coudée (rappel historique).
Très tôt, la coudée pouvait signifier des unités de longueur plus grandes, plus pratiques.
Ainsi la « coudée de Nippour », mesure de référence de tous les systèmes de l’Antiquité, tenait 30 doigts exactement.
Cela certainement pour des raisons de compatibilité avec le système sexagésimal babylonien. Les Égyptiens, eux, divisèrent cette même coudée en 28 doigts seulement. Ceci à cause d’une approximation trigonométrique très pratique pour les géomètres lors des redivisions des champs après les crues du Nil.
Ainsi la mesure de longueur appelée doigt, crût d’un quatorzième par rapport à sa valeur déjà observée dans la verge mégalithique (ang. megalithic yard).
Plus tard, pendant le Moyen Âge, la coudée pouvait localement signifier la mesure de deux pieds. Mais très souvent, on préférait lui attribuer une valeur plus grande encore. Le yard anglais est une « coudée de trois pieds ».
Pour mesurer, par exemple, des étoffes sans outil : « du centre du corps humain à l'extrémité de la main, le bras étendu ». Soit un peu plus de 90 cm. (Ce qui donna la définition royale seulement légendaire : « du bout de nez d'Henri Ier à son petit doigt »)
L'aune de Paris de François Ier — attestée dès la fin de l’Antiquité sous le nom latin « ulna » (cf. texte : «gromatici veteres» unités de mesure romaines) — est une coudée de 4 pieds.
Soit un peu moins de 1,20 m : « de la hanche gauche par exemple, à l'extrémité de la main droite, le bras levé ».
Une valeur très spécifique fut donnée à la coudée par les bâtisseurs des cathédrales : 233 lignes au lieu des 216 lignes (=1½ pieds) du système standard. (cf. l'entrée : ligne)
La ligne (line, symbole: ln) est une unité de mesure de longueur conçue durant le Moyen Âge.
Généralement, c’est le pouce divisé par douze.
La ligne du système anglo-saxon vaut aujourd’hui exactement 2,116 mm. La ligne du Roi de France, symbole l, un douzième du pouce du Roi, est définie par la Loi du 19 frimaire An VIII (10 décembre 1799) qui stipule que « le mètre est égal à 3 pieds et 11,296 lignes de la toise de Paris ». Ce qui donne environ 2,256 mm à la ligne de l’Ancien Régime.
Selon le système officiel du Moyen Âge, il y a :
- 4 lignes dans un grain d'orge (= 1/9 paume)
- 9 lignes dans un doigt (= 1/4 paume)
- 12 lignes dans un pouce (= 1/3 paume)
- 36 lignes dans une paume
- 144 lignes dans un pied (= 4 paumes)
- 216 lignes dans une coudée (= 6 paumes)
- 864 lignes dans une toise (= 24 paumes)
Parallèlement, les bâtisseurs des cathédrales employèrent un système basé sur cinq nombres de la suite de Fibonacci (1175-1240) : 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144, 233, 377, 610, 987 ...
Leur instrument de mesure s’appelait « la canne royale ».
Elle mesurait au total 555 lignes (1,25 mètre).
Elle était composée de cinq mesures différentes, reliées entre elles par additions des mesures précédentes.
- 34 lignes dans une paume (lat. palmus minor)
- 55 lignes dans une palme (lat. palmus maior)
- 89 lignes dans un empan (une palme plus une paume)
- 144 lignes dans un pied (un empan plus une palme)
- 233 lignes dans une coudée (un pied plus un empan)
Les bâtiments conventuels.
- L’aile du Levant :
Joignant le chevet de l’église, elle comporte d’abord le passage vers le cimetière ou «couloir des morts» étroit et voûté en berceau, que les frères empruntaient plusieurs fois par jour pour la visite au cimetière. De chaque côté de la porte, deux petites niches, creusées dans la muraille, constituaient l’armarium où étaient placés les livres de chœur et les lampes des religieux.
- La salle capitulaire :
Réunie au XIX° siècle à la salle de travail pour en faire une vaste cave, elle était à l’origine carrée. Voûtée d’une croisée d’ogives toriques partant du sol, elle est éclairée au Levant par deux fenêtres étroites à fort ébrasement intérieur.
Son ouverture sur le cloître présente le dispositif habituel : sous un grand arc de décharge s’ouvrent trois arcades en plein cintre – une porte flanquée de deux baies – dont les arcs très profonds prennent appui sur deux groupes de trois colonnettes posées sur un mur-bahut. Leurs chapiteaux romans, de forme cubique ou à la corbeille évasée de quelques nervures, sont d’une grande pureté de lignes.
Dans le prolongement de la salle capitulaire, avec ses deux travées voûtées de croisées d’ogives toriques, servait de lieu de travail aux religieux. Elle se prolonge au sud par une petite salle voûtée en demi-berceau s’ouvrant directement sur les champs ; ce vestibule pouvait servir de vestiaire, de resserre à récolte ou de remise pour le matériel.
C’est dans la galerie est du cloître et devant la porte du chapitre que prend naissance l’escalier droit qui permettait de monter au dortoir et à l’infirmerie (ou cellule du correcteur), petite salle voûtée ouverte sur l’abside par une baie permettant de suivre les offices. Ainsi qu’on le verra en visitant le cimetière, tout l’étage du dortoir, jadis voûté d’un berceau brisé, a été remanié au siècle dernier par la création d’un appartement éclairé par de grandes fenêtres à croisées d’un «style Renaissance» tout à fait incongru ici !
- L’aile sud :
Occupée au rez-de-chaussée par le réfectoire et la cuisine avec son four dont on peut encore voir la cheminée cylindrique au-dessus de la toiture. A l’étage se trouvait une longue salle voûtée à usage de grenier. Seule subsiste encore une travée du réfectoire, voûtée d’ogives ; tout le reste a été remanié et aménagé en locaux d’habitation au XIX° siècle.
L’aile ouest :
A l’étage se trouvait le logis des hôtes, le seul à bénéficier d’un certain confort que révèle de l’extérieur, la présence d’une cheminée cylindrique romane et des latrines faisant saillies sur la façade ouest. L’intérieur qui a conservé sa voûte en berceau brisé, a été transformé au XVIII° pour loger le prieur, et après 1772, le chanoine de Lodève, son successeur. L’appartement des hôtes était éclairé par deux élégantes baies géminées romanes à colonnette centrale avec chapiteau orné de feuillages frisés. Enveloppant l’angle du bâtiment, un escalier extérieur permettait d’accéder directement à l’étage.
Le cimetière.
Une fouille de sauvetage, pratiqué en 1983 à l’occasion de la restauration de l’abside, par le Groupe archéologique lodévois, a fait apparaître outre de nombreux drains d’assainissement creusés dans le substrat rocheux, trois séries de sépultures. D’abord deux caveaux maçonnés orientés N.-S., édifiés contre l’abside et la façade est, devant le seuil de la porte des morts : tombes privilégiées de prieurs ou de bienfaiteurs du monastère. Ensuite une série de tombes parallèles orientées E.-O., en pleine terre et en forme de coffre fait de dalles de lauzes ; tombes modestes de religieux, datables des XIII° - XIV° siècles. Enfin au niveau inférieur, sont apparues deux tombes jumelles plus anciennes, creusées dans le grès avec loge céphalique caractéristiques du haut Moyen Age : leur présence ici, confirme l’existence d’un sanctuaire bien avant l’arrivée des Grandmontais.
C’est du cimetière que l’on a peut-être la plus belle approche du prieuré et que l’on prend l’exacte mesure des qualités de l’art grandmontais : simplicité des lignes, robustesse des formes et perfection de l’appareil de grés, extrait sur place même.
L’abside, avec ses trois longues fenêtres au cintre sobrement souligné d’une archivole, a conservé son toit de lauzes qui devait à l’origine s’étendre à tous les bâtiments. L’aile est, épaulée par quatre puissants contreforts à retraites, révèle ses aménagements internes : petites baies romanes étroites du chapitre et de la salle des moines au rez-de-chaussée, fenêtres à croisillons et meneaux à l’étage qui ont remplacé au XIX° siècle les petites baies du dortoir dont un exemplaire subsiste encore à l’extrémité sud.
Orientations bibliographiques :
Centre d’archéologie médiévale du Languedoc – Grandmont 89.
Office départemental d’action culturelle de l’Hérault.
Saint-Michel de Grandmont par Robert Saint-Jean
Revue annuelle du C.AM.L. supl. au t. 5 – 1987
Avec l’autorisation de la famille Bec, propriétaire des lieux depuis 1957.
Photographies – Yvan Marcou
Visite guidée.
Du 1er juin au 30 septembre tous les jours à 10h.30 – 15h. – 16h. – 17h.
Du 1er octobre au 15 décembre tous les jours à 15h.
Location de salles pour repas de groupes, mariages, séminaires, sur réservation toute l’année.
Concerts et expositions toute l’année.
Renseignements :
tél. 04 67 44 09 31 – E-mail : grandmont2@wanadoo.fr