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LE BAGNE DE GUYANE.

 Jean
Lundi 24 Septembre 2007

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Bonjour, je suis historien et je voudrais savoir quelle fut au bagne de Saint Laurent du Maroni la fonction du nommé Tell, fonctionnaire de l'administration pénitentiaire vers 1910 -1920. (je le crois d'origine guadeloupéenne) . Fut-il directeur du bagne comme certaines sources l'affirment? Sa fille Eugénie Tell, épousa le gouverneur Félix Eboué (mariage célébré à St Laurent en 1922). Elle fut sénateur de la Guadeloupe de 1947 à 1954.
 DEGRAS jean-claude
Lundi 24 Septembre 2007

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En effet, monsieur Tell fut directeur du bagne de Saint-Laurent du maroni. Il fut le premier et unique noir à occuper un tel poste. Il dépendait directement du ministre des colonies et non du gouverneur. de Guyane sa fille épousa le gouverneur général félix Eboué en 1922, lequel repose au panthèon depuis 1949. Le père d'Eugénie a une ascendance guadeloupéenne; certains disent marie-galantaise, d'autres de Morne à l'eau (commune de Guadeloupe) Félix Eboué fut de 1936 à 1938 gouverneur de la Guadeloupe, nommé par le front populaire.
 Webmaster.
Lundi 24 Septembre 2007

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Elisabeth Charlotte Andrée Eugénie EBOUÉ-TELL est née le 23 novembre 1891 à Cayenne.
Fille du directeur de l'Administration pénitentiaire en Guyane, elle poursuit des études secondaires au lycée de jeunes filles de Montauban.
Après le brevet supérieur et un diplôme de sténo, elle revient en Guyane, à St-Laurent-du-Maroni, où elle exerce les fonctions d'institutrice.
Le 14 juin 1922, elle épouse Adolphe Félix Sylvestre EBOUÉ. Elle le suit dans sa carrière coloniale et le seconde, surtout en Afrique, et l'aide pour la connaissance des dialectes locaux.
En août 1940, tous deux se rallient au général de Gaulle : Félix Eboué devient gouverneur de l'Afrique équatoriale française et Eugénie Eboué-Tell, engagée dans les Forces Françaises Libres, est affectée comme infirmière à l'hôpital de Brazzaville.
En 1944, elle est décorée de la croix de guerre et de la médaille de la Résistance.
Son engagement politique au sein de la SFIO date de 1944 : déléguée à l'Assemblée consultative provisoire, elle est élue conseiller municipal de Grand Bourg à la Guadeloupe, puis devient députée aux deux assemblées nationales constituantes de 1945 et 1946, avant d'être élue au Conseil de la République le 15 décembre 1946.
Au Palais du Luxembourg, elle adhère au groupe socialiste et siège à la commission de l'éducation nationale puis de l'intérieur.
Sa première intervention en séance publique, en 1947, porte sur la situation à Madagascar.
La même année, membre du nouveau parti fondé par le Général de Gaulle, le RPF, elle se présente avec succès aux élections municipales, puis à celles du Conseil de la République où elle participe aux travaux de la commission des douanes.
Son intérêt pour les questions relatives à l'outre-mer la conduit à s'exprimer à plusieurs reprises à la tribune de la Haute assemblée et avec beaucoup de compétence, sur l'extension de la sécurité sociale aux territoires d'outre-mer, le traitement des fonctionnaires et le régime fiscal dans les départements d'outre-mer, etc.
En 1951, elle est vice-présidente de la commission de la France d'outre-mer, puis le 10 juillet 1952, après avoir quitté le Palais du Luxembourg, elle devient vice-présidente de l'Assemblée de l'Union française. L'année 1956 voit sa défaite aux élections législatives anticipées dans la 5ème circonscription de la Seine ; en revanche, elle est élue en 1958 conseillère municipale d'Asnières
Elle décède à Pontoise (Val-D'Oise) le 20 novembre 1972.
Elle était commandeur de la Légion d'Honneur, croix de guerre 39-45 et rosette de la Résistance.
Elle était également commandeur de l'Ordre du Tchad et de l'Ordre de la Côte d'Ivoire
Le collège N°1 de St-Laurent-du-Maroni porte son nom

En 1945-1946, elle est député socialiste de la Guadeloupe.
De 1945 à 1952, elle siège au Conseil de la République.
De 1952 à 1958, elle est conseiller de l'Union française, assemblée dont elle est vice-présidente en 1952-1953.
De 1959 à 1962, elle devient membre de la section des activités sociales du Conseil économique et social.
De 1958 à 1971, elle est conseillère municipale d'Asnières.
 CAPPELLESSO Marie-Jeanne
Dimanche 30 Septembre 2007

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J'ai 59 ans, et lorsque j'étais ado, j'ai toujours entendue ma grand-mère me raconter une histoire vraie, celle de son père (mon arrière grand-père) : Francesco GONZALEZ, qui avait été condamné à perpétuité au bagne de CAYENNE, pour un crime qu'il n'avait pas commis. Il était dans une forêt ramassant du bois, quand les gendarmes l'ont emmené car une femme venait de se faire assassiner. Il a toujours clamé son innocence, c'était vers les années 1900. Le vrai meurtrier a commis un autre crime, et a avoué le 1er, reconnaissant ainsil l'innocence de mon ar.gr-père, qui fut libéré vers 1912, il a purgé 12 ans de bagne,de nationalité espagnole, ma grand-mère était en Algérie au moment des faits, son père aussi bien sûr. Toutefois, à la suite de cette affaire, un livre fut écrit, retraçant le récit que je viens d'évoquer. Avez-vous eu connaissance de cette histoire vraie. Je n'ai pas beaucoup de renseigements ni l'auteur, ni l'éditeur, c'était certainement un journalise de la Métropole. Je cherche depuis des années, je consulte tout ce qui pourrait m'aider, j'ai contacté le site de la Justice,sans résultat jusqu'à présent. Je vous remercie beaucoup de ce que vous pourriez savoir . Cordiales salutations.
 GADOURI
Lundi 8 Octobre 2007

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Bonjour Leila,
Bien entendu que je peux t'aider. Certes, tu portes le même nom que moi et tu portes un prénom arabe au même titre que moi. Tu es d'où. Tu es d'origine Algérienne ? Tu es installée dans quel pays ? Ecris moi soit, sur le site ou sur mon adrtesse e-mail. Tu sais les Gadouri, en Algérie, ils sont partout. Il sont dans le nord, Alger, Blida, Médéa et dans le centre, Kasr El Boukhari, Djelfa, Oussera et même à Oran. Si ton Père est d'origine Algérienne Il est d'où. Et toi actuellement tu es installée où pour que je puisse te contacter. N'hésite pas à me le demander. N'oublie pas que tu t'appelles GADOURI comme moi. On doit s'entre aider. Bien, que je suis un peu malade mais, ,je suis à ta disposition. Amina GADOURI Blida ALGERIE
 gadouri leila
Lundi 8 Octobre 2007

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Salut amina je suis contente que tu m'ais répondu je suis de Marseille mon père est originaire de Khenchela je te laisse mon adresse email pour que tu puisses me répondre dessus et que je te laisse mes coordonnées téléphonique je te fais de gros bisous et j'espère que tu n'es pas malade grave. mimichouette01@hotmail.fr
bisou
 REA
Mardi 16 Octobre 2007

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Bonjour,
Ayant lu le livre "Papillon", Henri Charrière, exise t-il un site, où, il est possible de trouver des photos de
lui, avant, pendant ou après sa réclusion. Merci pour ce superbe site. Salutations.
 Webmaster.
Mardi 16 Octobre 2007

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Bonjour,
A ma connaissance, il n'y a pas de sites qui proposent des photos de Henri CHARRIÈRE alias "Papillon".
Mais vous pourrez en trouver sur des anciens Paris Match N°1046 - 1049 et 1058, qui traitent de la sortie de son livre et de son retour en Guyane.
Cordiales salutations.
@+ YM
 Marie-Jeanne CAPPELLESSO
Samedi 20 Octobre 2007

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Je cherche un receuil-livre qui a été écrit sur mon arrière grand-père (d'après les dires de ma grand-mère lorsque j'étais ado). Voici ce que j'ai pu trouver après avoir demandé l'extrait de naissance de mon ar.gd-père :il s'appelait :Adrio, Bernardino, Antonio GONZALEZ n en 1833, sans précisions de jour ni mois de naissance,d'origine espagnole il vivait à Sidi-Bel-Abbès en
Algérie, émigré , il a été condamné au Bagne de Cayenne à perpétuité pour le crime d'une femme, il a toujours nié, il était innocent, le vrai meurtrier a tué à nouveau 12 ans après, et a reconnu ce premier crime en précisant que Adrio GONZALEZ purgeait une peine, mon ar.gd-Père a été relaché, l'acte intégral de ma grand-mère précise qu'il s'est marié le 8.02.1883 avec Catalina, Bernabela Maria de Los Dolorès BLANCO née en 1853. On peut supposer qu'il était à Cayenne aux alentours de "1860-1872". Votre oeuvre est particulièrement intéressante, et saisissante quant aux travaux des forçats, cette vie d'horreur ou la mort est omniprésente. Merci de tout coeur, à l'avance, et peut-être avez-vous entendu parlé de l'histoire vraie de mon arrière gd-père, j'ai contacté la Justice sur le Net également pour demander copie du proès, j'attends une réponse de leur part. Sincères salutations.
Mme Marie-Jeanne CAPPELLESSO
 paugam
Vendredi 16 Novembre 2007

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super interessant,papillon etait le frere de ma grand mere ,nous les enfants ne connaissions pas son existence et au moment de la parution de son livre ...un secret de famille explosait ,j 'en garde un souvenir tres precis et somme toute tres amusant
 gadouri
Mardi 20 Novembre 2007

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selem
moi aussi je suis une gadouri nina mes origine o bled sont de khenchela (dans les aures, chaouia) je suis curieuse et sa me ferais plaisir de faire ta connaissance....
qui c......
on est peut être de la même famille
 Sandie
Vendredi 23 Novembre 2007

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Bonjour,

Dans l'histoire familiale, on m'a toujours dit que mon arrière grand-père, dénommé PFAENDER, originaire de Granvillars (Franche Comté) avait, aux alentours de 1900-1914, fait partie de l'administration du bagne, dont il aurait été directeur (?).

L'une de ses filles, Thérèse PFAENDER, ma grand-tante, était née à Saint-Laurent du Maroni au début du siècle.

Auriez-vous quelques précisions ?
 Christian
Mardi 4 Décembre 2007

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Bonjour, et... félicitations pour votre site et la disponibilité dont vous faîtes preuve à l'égard de vos visiteurs. Une personne vient de me poser une colle en me demandant quel centre pénitentiaire ferme le 2 juillet 1947. Le site lephemeride.com associe cette fermeture au bagne de Cayenne. Quel événement précis justifierait cette date sachant que le retour de Seznec est daté du 1er juillet et que les retours se font pourtant jusqu'en 1953 (avec le retour en métropole du san mateo).

Cordialement.

Réponse du Webmaster.
Bonjour,

Le 17 juin 1938 le Président Albert LEBRUN signe un décret-loi qui supprime définitivement la transportation en Guyane française, mais rien n’est prévu pour le rapatriement de ceux qui s’y trouvent, et ils continuent a être régi par la loi du 30 mai 1854. La relégation était maintenue et un dernier convoi de 638 relégués fut embarqué pour la Guyane à la fin de l’année 1938.
De 1940 à 1943, un nouveau directeur est nommé par le gouvernement de Vichy. Ce dernier fait preuve d’une rigueur féroce. En trois ans, la population pénale diminue de moitié sous l’effet de mauvais traitement et de malnutrition.
Les nouvelles autorités de la France libre prennent des mesures humanitaires devant les plaintes qui émanent dont en particulier des membres de l’Armée du Salut qui sont en place. Ainsi les camps de travail forcé en forêt sont abandonnés ( Godebert – Charvein - …) et les conditions de détention sont assouplies.
Freiné par la deuxième guerre mondiale, c'est en 1946 que le pénitencier est définitivement fermé et le rapatriement des libérés et des condamnés en cours de peine est décidé, ces derniers poursuivront leur peine en métropole.
Guillaume SEZNEC est gracié le 4 février 1947, et il arrive libre le 1er juillet 1947 au Havre après vingt ans de bagne. On peut noter la destruction du bagne de Brest la même année.
De 1946 à 1953 l’Armée du Salut organise les retours et leur réinsertion, et le 17 août 1946, cent quarante-cinq ex-forçats arrivent à Marseille, mois après mois se poursuivent les retours, dont cinq cents en 1949 et les cent trente-deux derniers quittent la Guyane en août 1953.

Cordiales salutations, avec l’espoir d’avoir répondu à votre question.
Yvan Marcou
 NORDINE
Lundi 10 Décembre 2007

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BONSOIR,
JE RECHERCHE DES INFORMATIONS SUR LE CIMETIERE DES BAGNARDS. MON ARRIERE GRAND PERE A ETE FORCAT AU BAGNE DE 1934 A 1937. MALHEUREUSEMENT DECEDE SUITE A MALADIES PULMONAIRES EN 1937.
IL VENAIT D'ALGERIE - INCARCERE SUITE A ASSASINAT LE 1ER DECEMBRE 1934 A BOUGIE (KABYLIE).
LE CRIME COMMIS A ETE COMMIS PAR UN AUTRE DONT IL A AVOUE SON CRIME AVANT SON DECES EN 2001.
LE NOM DE MON GRAND PERE ETAIT TARROUANSAID ALI - MATRICULE N°52775.
SI QUELQU'UN A DES RENSEIGNEMENTS SUR MON GRAND PERE OU LE CIMETIERE DES FORCATS SERONT LES BIENVENUES. (DOSSIER EXAMINE AU CENTRE D'AIX EN PROVENCE MAIS RIEN SUR SON DECES OU LE LIEU D'ENTERREMENT - DOSSIER SERA REMIS SEULEMENT EN 2034).
MERCI A TOUS.
CORDIALEMENT.

Le webmaster:

Bonjour,

Le N° matricule de votre grand-père confirme qu'il a bien été transporté au bagne entre 1935 et 1936. A priori, compte tenu de cette date, il n'a pas pu effectuer un doublage comme libéré, donc non inscrit sur l'état civil d'une commune de Guyane à son décès en 1937.
Donc décédé en 1937 sous le régime de l'administration pénitentiaire, il serait utile de connaitre le lieu du décès, car il permettrait de supposer que son corps aurait pu être déposé dans la fausse commune de Saint-Laurent-du-Maroni ou celle d'un camp forestier ou alors avoir subi "le mouillage" aux Îles du Salut, car il n'y a pas de cimetière de bagnards sur les Îles, sauf sur l'île du Diable.
Toutefois comme les archives d'Aix-en-Provence ne sont pas accessibles avant 2034, il pourrait y avoir une autre possibilité de trouver une trace de son dossier aux archives départementales de la Charente-Maritime, car 87 registres concernant les matricules 31401 à 52800 y ont été déposés.
Restant à votre disposition pour d'autres informations recevez mes cordiales salutations.
@+
 M. Dreuilhe
Dimanche 16 Décembre 2007

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Bonjour,
Est-ce que le centre pénitentiaire de Saint-Laurent-du-Maroni a bien été fermé : le 2 juillet 1947?
Ou bien quel centre pénitentiaire a été fermé ce jour là?
merci de m'éclairer

Réponse du Webmaster.
Bonjour,

Le 17 juin 1938 le Président Albert LEBRUN signe un décret-loi qui supprime définitivement la transportation en Guyane française, mais rien n’est prévu pour le rapatriement de ceux qui s’y trouvent, et ils continuent a être régi par la loi du 30 mai 1854. La relégation était maintenue et un dernier convoi de 638 relégués fut embarqué pour la Guyane à la fin de l’année 1938.
De 1940 à 1943, un nouveau directeur est nommé par le gouvernement de Vichy. Ce dernier fait preuve d’une rigueur féroce. En trois ans, la population pénale diminue de moitié sous l’effet de mauvais traitement et de malnutrition.
Les nouvelles autorités de la France libre prennent des mesures humanitaires devant les plaintes qui émanent dont en particulier des membres de l’Armée du Salut qui sont en place. Ainsi les camps de travail forcé en forêt sont abandonnés ( Godebert – Charvein - …) et les conditions de détention sont assouplies.
Freiné par la deuxième guerre mondiale, c'est en 1946 que le pénitencier est définitivement fermé et le rapatriement des libérés et des condamnés en cours de peine est décidé, ces derniers poursuivront leur peine en métropole.
Guillaume SEZNEC est gracié le 4 février 1947, et il arrive libre le 1er juillet 1947 au Havre après vingt ans de bagne. On peut noter la destruction du bagne de Brest la même année.
De 1946 à 1953 l’Armée du Salut organise les retours et leur réinsertion, et le 17 août 1946, cent quarante-cinq ex-forçats arrivent à Marseille, mois après mois se poursuivent les retours, dont cinq cents en 1949 et les cent trente-deux derniers quittent la Guyane en août 1953.

Cordiales salutations, avec l’espoir d’avoir répondu à votre question.
Yvan Marcou
 Laurent
Dimanche 16 Décembre 2007

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bonjour je suis arrière petit fils de bagnard mon arrière grand pere Hentzien Jean pierre était a Cayenne au bagne de l'ile du salut et j'aimerais savoir plein de choses sur lui notamment ou il repose il est décédé a l'hôpital général de Cayenne en 1936 mais personne a cayenne ne peux me dire ou il repose la seule sources que j'ai c'est qu'il pourrais reposer au cimetière des bagnards mais ce cimetière existe t 'il encore merci si quelqu'un peux me répondre et comment me procurer la photo de mon arrière grand père
 laurent
Dimanche 16 Décembre 2007

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petit rectificatif ; mon arriere grand pere est décédé en 1942 a'hopital du salut j'ai reussi a me procurer son acte de deces a la mairie de cayenne mais malheureusement la seule info que j'ai par la mairie et par une personne que j'ai eut au telephone de cayenne c'est qu'il repose bien au cimetiere des bagnards sur l'ile du salut apelée aussi ile du diable quand a savoir si ce cimetiere est toujours entretenu et si les tombes y sont encore je n'est aucuns renseignements son matricule est le 51089 donc si quelqu'un peu me renseigner merci d'avance
 laurent
Dimanche 16 Décembre 2007

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pour repondre a M .Dreuihe apparament oui le bagne du fermé en 1947 voici unn extrait d'article ' Le rapatriement des bagnards s'organise à partir de 1947. La majorité choisit alors de regagner la France mais quelques-uns restent en Guyane. Peut-être en croiserez vous un à Saint-Laurent-du-Maroni ou ils ont élu domicile pour toujours.'
 PERROD PAUL
Samedi 22 Décembre 2007

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Bonjour,
Vous donnez le 2 juillet 1947 comme date de la fermeture du centre pénitentiaire de Cayenne. Toutefois, d'autres sources, telle que les renseignements administratifs du service public, mentionnent Saint-Laurent du Maroni pour ce jour. N'oublions pas que Gaston Monnerville profita de son poste de Sous-Secrétaire d'État aux Colonies en 1937 et 1138 pour fermer le bagne de Cayenne, mais cette fermeture a peut-être été progressive.
Afin de lever toute incertitude, pourriez-vous me donner les références du texte décidant de cette fermeture ?
A l'avance, merci.
Cordialement,
P. PERROD
p.perrod@tiscali.fr
 laurent
Mardi 25 Décembre 2007

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voici le liens ou il parle de la fermeture des bagnes de cayenne http://www.horizo.com/guyane/guyane_penitentier.htm

Le webmaster:
Bonjour,

Merci pour l'intérêt que vous portez à notre site et à l'histoire des bagnes de Guyane.

Comme vous le signalé le rédacteur du site concerné parle de la fermeture du bagne:
' La déportation cesse mais durant la seconde guerre mondiale, plus de la moitié des détenus meurt de faim ou de la maladie, sous la coupe du tyrannique gouverneur de l'époque, à la solde du régime de Vichy.
Le rapatriement des bagnards s'organise à partir de 1947. La majorité choisit alors de regagner la France mais quelques-uns restent en Guyane. Peut-être en croiserez vous un à Saint-Laurent-du-Maroni ou ils ont élu domicile pour toujours.?

Je précise:
La transportation est supprimée par décret-loi du 17 juin 1938, signé par Albert LEBRUN.
Mais un dernier convoi de 638 relégués est embarqué pour la Guyane à la fin de l?année 1938.
Il ressort que le pénitencier de Saint-Laurent-du-Maroni a été fermé en 1946, ainsi que tous les camps du Maroni.
Les cases des détenus du camp de la relégation de Saint-Jean-du-Maroni sont rasées en 1946.
Les détenus en cours de peine ont été transféré aux Îles du Salut, ils sont toujours régis par la loi du 30 mai 1854.
Le rapatriements par l?Armée du Salut débute le 17 août 1946 et les 132 derniers en août 1953.
Ainsi, à ma connaissance, il n?y a pas eu de texte fixant la fermeture du pénitencier des Iles-du-Salut, le bagne sera fermé par extinction, suivant le souhait du même Albert LEBRUN.

Cordiales salutations.
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